Le tout nouvel album de Gus Englehorn, The Hornbook est disponible partout dès aujourd’hui via Secret City Records. Musikexpress (Allemagne) a fait l’éloge de l’album, déclarant que « The Hornbook est comme si Arcade Fire plongeait dans une piscine de balles, ou comme un disque des années 1970 ayant échappé à son époque. Ce qui ne devrait pas être négligé est que Gus Englehorn est non seulement hilarant, c’est également un excellent auteur-compositeur. » Pour souligner la parution de son album, Gus dévoile un nouveau vidéoclip pour l’extrait « The Itch », une « affirmation quotidienne de développement personnel sous forme de ballade », réalisé par sa collaboratrice et batteuse de longue date Estée Preda.

Englehorn célébrera la parution de l’album avec deux événements-lancements spéciaux : le 6 février au Bar L’Escogriffe de Montréal dans le cadre du Taverne Tour, puis le 7 février au Le Pantoum de Québec. Les fans peuvent s’attendre à une expérience scénique hors du commun mariant le charme décalé d’Englehorn à ses histoires immersives. En mars, l’artiste excentrique se rendra à Austin, au Texas, pour participer à une vitrine dans le cadre du prestigieux festival SXSW; des dates de tournée additionnelles aux États-Unis seront annoncées bientôt.

Si vous portiez attention durant les cours d’histoire au secondaire, vous vous souvenez peut-être qu’un abécédaire (hornbook) est un outil d’enseignement pour les enfants datant du 15e siècle, prenant la forme d’une tablette de bois où étaient gravés l’alphabet, les chiffres et souvent un verset de la Bible. (Imaginez une version bêta de l’application de notes de votre iPhone.)

The Hornbook transmute magiquement toute l’histoire du rock’n’roll du 20e siècle — les classiques des années 1950, le rock garage des années 1960, la flamboyance glam des années 1970, la transgression indie des années 1980, les curiosités lo-fi des années 1990. Coréalisé par Mark Lawson (Arcade Fire, Timber Timbre, Colin Stetson) et mixé par Paul Leary du groupe Butthole Surfers, l’album confirme le talent d’Englehorn pour tisser des récits captivants d’un point de vue enfantin, mais émouvant.

« Quand j’écrivais ces chansons, j’avais l’impression de rédiger un livre pour enfants — chaque chanson racontait une petite histoire », indique Englehorn. « Mais j’avais aussi l’impression que c’était un cryptogramme pour le monde entier. » Chaque pièce sur The Hornbook offre un aperçu unique de l’imagination débridée d’Englehorn. De la saga ferroviaire mythique « One Eyed Jack Pt. I and Pt. II » à la ballade médiévale de voyage dans le temps « Thyme » en passant par l’inusité meurtre et mystère de « Sweet Marie », l’album est un recueil d’histoires mariant l’innocence à l’expérience. « The Itch » se démarque en tant qu’hymne au développement personnel qui prend la forme d’une fantaisie sous-marine encourageant les auditeurs à embrasser leur voix intérieure et à continuer d’avancer.

Ajoutant une fascinante dimension visuelle à l’album, le tableau reproduit sur la pochette est une œuvre de l’artiste allemande Angela Dalinger, dont l’imagerie surréaliste, sombre et humoristique complète parfaitement le monde fantastique d’Englehorn : « Cette jolie scène dépeignant une femme couchée dans un étang, évoquant “Ophelia” de l’artiste britannique Sir John Everett Millais, correspondait exactement à comment j’imaginais une des histoires de l’album dans ma tête. Alors, j’étais convaincu ».
The Hornbook est disponible en format CD et vinyle, ainsi que sur les plateformes numériques.

About GUS ENGLEHORN
Alors que son parcours sur Terre l’a fait passer de son Alaska natal au Québec en passant par l’Utah et Portland, jusqu’à son lieu de résidence actuel (pour les cinq prochaines minutes au moins) à Hawaï, Gus Englehorn est d’abord et avant tout un citoyen de la planète Gus, un univers étrange créé par un big bang entre la beauté sereine et le chaos apocalyptique, peuplé de héros folkloriques, de personnages inquiétants et d’insectes surdimensionnés. Un auteur-compositeur-interprète indie rock encensé par la critique, il a consacré une grande partie de sa vie à être un snowboarder professionnel, mais il a toujours rêvé d’écrire des chansons. Accompagné par son épouse Estée Preda, sa collaboratrice clé avec qui il produit ses albums et crée ses vidéoclips, son approche est viscérale, subconsciente et, comme lorsqu’il faisait du snowboard, il prend des risques et ne fait pas de compromis.

By admin

Read previous post:
"Télama" de Joyce N’Sana

Après deux EP remarqués sortis en 2016 et 2021, Joyce N’Sana (révélation Radio-Canada 2021-2022), nous offre Télama, son premier album,...

Close