Fernie est enfin prêt. À 26 ans, le chanteur montréalais est devenu international : il a combattu ses doutes et embrassé son histoire, transformant des saisons de douleur en un R&B cinématographique et sans faille. Signé par Secret City Records – après avoir attiré l’attention de Patrick Watson – son nouvel EP Hopeless Dreams est la preuve que ce nouveau talent excitant est là pour rester, chantant des chansons sombres qui illuminent la nuit.
« Ce sont mes histoires, nos histoires », explique Fernie. Des histoires tristes, des histoires dures, des souvenirs de chagrins d’amour et de blessures. En 2021, le musicien a sorti son premier projet, Aurora, qui l’a propulsé sur les scènes du monde entier, notamment Osheaga, The Great Escape (Royaume-Uni) et SIM São Paulo (Brésil)… Hopeless Dreams est une sorte d’EP « préquel », explique-t-il – une face A à la face B d’Aurora – qui explore les origines de Fernie et la façon dont ces histoires l’ont transformé.
Hopeless Dreams voit le chanteur briller d’une nouvelle confiance, revisitant les pires moments de son passé – des traumatismes de l’enfance aux relations extractives. (Hopeless Dreams la chanson-titre de l’EP est déjà diffusée dans l’émission Future Soul de BBC Radio 1). Parfois, comme sur le soyeux « Valhalla », la voix de Fernie est portée par de riches arrangements de cordes ; ailleurs, comme sur le dévastateur « Bones & All », ses chansons ont été presque dépouillées. « Pain » a été produit par le Montréalais Patrick Watson, qui a découvert Fernie avant la sortie d’Aurora et qui est devenu son mentor.
Malgré toute sa vulnérabilité, Hopeless Dreams n’est pas « une main tendue pour demander de l’aide », dit Fernie. Ce disque somptueux est « une main tendue vers d’autres personnes, pour qu’elles ne se sentent pas seules. C’est universel. C’est pour tout le monde. »
À PROPOS DE FERNIE
Fernie est né au Brésil mais a grandi à Montréal, adopté dans un foyer où l’on parlait anglais, portugais, français et allemand. L’auteur-compositeur-interprète éblouit par ses textes crus, ses mélodies qui remuent l’âme et son R&B cinématographique, le tout propulsé par ses impressionnantes capacités vocales. Son premier EP, Aurora, a été salué partout. « Son ethnicité brésilienne et canadienne transparaît dans ses paroles vulnérables et ses mélodies puissantes », a écrit Rolling Stone (France). Il a également été sélectionné pour une session Chambre Noire sur Radio Nova, un SessionLab sur RFI, et plus encore. Urbania décrit Fernie comme « un Montréalais à la voix douce et suave qui chante des chansons soul modernes ». La Presse, Le Devoir, Salut Bonjour et KCRW (USA) ont tous fait l’éloge de l’artiste.
Au cours de la dernière année, Fernie a effectué une tournée à travers le Québec et dans le monde entier, se produisant dans plusieurs festivals : Osheaga, le Festival international de Jazz de Montréal, le Festival d’été de Québec, ainsi qu’au Brésil (SIM São Paulo), en France (Bars en Bars, festival MaMA), et au Royaume-Uni (The Great Escape) et il a collaboré avec les artistes Magi Merlin, Laraw, Noche/Mathieu Sénéchal (Charlotte Cardin), Billie Du Page. En tant que grand fan de « Vampire Diaries », ses vidéos parodiant Nina Dobrev ont suscité de nombreux rires de la part des fans de la série culte sur les médias sociaux, l’un de ses posts ayant atteint 15 millions de vues.