Symbole de paix, de résilience et de savoir-faire artisanal, le savon d’Alep vient d’être inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO.
Symbole de paix, de résilience et de savoir-faire artisanal, le savon d’Alep vient d’être inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO. Une nouvelle qui illumine un moment sombre pour la Syrie et qui résonne jusqu’au Québec grâce à l’entreprise sociale Les Filles Fattoush. Cette entreprise sociale québécoise dédiée à la promotion de la culture syrienne et à l’intégration des femmes réfugiées, célèbre cette reconnaissance mondiale avec fierté.
Fabriqué depuis des millénaires dans la région d’Alep, en Syrie, ce savon légendaire incarne une histoire de résilience, de savoir-faire artisanal et de traditions transmises de génération en génération. Aujourd’hui, grâce à Les Filles Fattoush, ce produit emblématique trouve une vie au Québec, où il est offert dans le respect des méthodes ancestrales tout en soutenant une mission sociale essentielle.
Avec chaque savon vendu, Les Filles Fattoush apportent bien plus qu’un produit naturel : elles transmettent un héritage culturel riche tout en favorisant l’intégration et l’autonomie des femmes réfugiées syriennes au Canada.
Un produit, une mission, un impact
Les Filles Fattoush, cofondée en 2017 par Adelle Tarzibachi, est bien plus qu’une entreprise : c’est un pont entre le Québec et la Syrie. En proposant des savons d’Alep authentiques et d’autres trésors de la culture syrienne, l’entreprise célèbre un patrimoine intemporel tout en offrant des opportunités d’intégration à des femmes réfugiées.
« Chaque savon que nous vendons raconte une histoire : celle d’Alep, d’une Syrie résiliente et des femmes qui reconstruisent leur vie ici, au Québec. » – Adelle Tarzibachi, cofondatrice
Pourquoi le savon d’Alep fascine-t-il encore ?
Un produit légendaire : Fabriqué depuis des millénaires à base d’huile d’olive et de laurier, il est reconnu pour ses bienfaits naturels et son procédé de fabrication unique.
Un symbole de persévérance : Malgré les ravages de la guerre en Syrie, la tradition de fabrication du savon d’Alep perdure, incarnant la résilience et la culture syriennes.
Un message universel : En ces temps difficiles, sa reconnaissance par l’UNESCO est une lumière d’espoir pour les Syriens et le monde entier.
Visionnaire et engagée, Adelle Tarzibachi a quitté la Syrie il y a près de 20 ans pour s’établir à Montréal. Après avoir fondé ADECO IMPORT, spécialisée dans les produits artisanaux syriens, elle cofonde en 2017 Les Filles Fattoush pour aider les femmes réfugiées à reconstruire leur vie grâce à leur savoir-faire culinaire.
« Mon rêve a toujours été de connecter le Canada et la Syrie, de préserver notre patrimoine tout en bâtissant un avenir meilleur pour les femmes de ma communauté. »
Un appel à la solidarité
Dans le sillage de la reconnaissance du savon d’Alep, Les Filles Fattoush invitent les Québécois à découvrir ce trésor culturel et à participer à une mission sociale unique. Chaque achat est un geste de soutien et un pas vers un monde plus solidaire.