Après avoir été acclamé pour sa Nuit des Rois au TNM cet automne, Frédéric Bélanger (Le Magicien d’OZ, Sherlock Holmes, Le songe d’une nuit d’été) signe le texte et la mise en scène d’une œuvre grand public mêlant cirque, musique, théâtre et arts numériques.
Le Théâtre Advienne que pourra et ses co-directeurs artistiques, Frédéric Bélanger et Sarah Balleux, annoncent aujourd’hui la présentation de l’œuvre multidisciplinaire Paperplane. Avec la musique originale de Gustafson, le spectacle met en scène huit artistes qui offrent une ode lumineuse au cycle de la vie. La direction de création et la conception acrobatique sont assurées par Émilie Émiroglou associée à plusieurs organisations prestigieuses du monde du cirque comme le Cirque du Soleil et le Cirque Éloize.
Une création qui sera présentée au Théâtre Alphonse-Desjardins à Repentigny dès le 29 juin prochain.
Paperplane est un voyage théâtral, musical et circassien, une fable moderne du cercle de la vie. Explorant le théâtre, le cirque, la danse, la musique et la lumière, la création rassemble huit artistes multidisciplinaires. Selon Frédéric Bélanger « on a tous différentes façons d’apprivoiser le deuil. L’une d’elles est de célébrer la vie. Paperlane se situe dans cet état d’esprit en offrant un récit poétique, ludique et merveilleux. »
La distribution compte des artistes issus autant de l’univers du cirque (Stephan Gentilini) que celui du théâtre et du chant (Sarah Leblanc-Gosselin) dont aussi : Evelyne Laforest, Valérie Doucet, Katarina Sobinkovicova, Bobby Cookson et Agustin Rodriguez Beltran.
La musique planante de Gustafson
C’est au rythme des compositions originales de la musique de Gustafson (Adrien Bletton, Jean-Philippe Perras) que se déroule une histoire inspirée par la disparition de la célèbre exploratrice Amelia Earheart. Composés à même les souvenirs d’enfance des interprètes de Paperplane, des tableaux s’enchaînent pour offrir un voyage lumineux, celui de la vie qu’on célèbre, à laquelle on insuffle une nouvelle couleur : celui du souvenir.
SYNOPSIS
Un souvenir, un lègue, un espoir.
Un enfant, un père, une famille.
Une histoire.
Si une anecdote de papier, une parenthèse qui déploie ses ailes, nous permettait de prendre notre envol, de nous rappeler ce que nous sommes.
Si le bonheur était un avion de papier porté par le vent.
Si notre souffle à tous et chacun nous permettait de le garder vivant, léger.
CRÉDITS – ÉQUIPE DE CRÉATION
Une création de Frédéric Bélanger et Émilie Émiroglou
Mise en scène : Frédéric Bélanger
Direction de création et conceptrice acrobatique: Émilie Émiroglou
Concepteur acrobatique: Nicolas Germaine
Concepteurs sonores et compositeurs: Gustafson | Adrien Bletton et Jean-Philippe Perras
Lumières: Nicolas Descoteaux
Costumes: Sarah Balleux
Accessoires: Felix Plante et Robert Trépanier
À PROPOS – LE THÉÂTRE ADVIENNE QUE POURRA
Le Théâtre Advienne que pourra a pour MISSION d’élargir les horizons culturels de nos jeunes et des moins jeunes. Nous voyons le théâtre comme un outil essentiel dans l’apprentissage de leur identité. Au-delà des langues, des traductions, des codes, des croyances, des religions et des différences, nous souhaitons que nos actions soient un levier vers une ouverture sur le monde.
Depuis 2005, le Théâtre Advienne que pourra (TAQP) initie une rencontre inspirante entre les arts vivants et la littérature. Sous l’œil avisé de Frédéric Bélanger et Sarah Balleux, il crée des univers scéniques originaux mettant en scène des héros taillés à la mesure de l’imaginaire de son public. Chaque spectacle, chaque atelier, chaque rencontre est une occasion d’ouvrir une porte sur le monde à travers une expérience artistique accessible et féconde. Lanaudière est notre maison, le Canada, notre terrain de jeu, le monde notre répertoire. C’est dans une optique d’accessibilité aux arts que nous œuvrons ; c’est pour rejoindre le public, où qu’il soit, que nous jouons.
C’est à travers la conjugaison de divers regards artistiques que se construit notre signature artistique. Art dramatique, mouvement, cirque, musique, le métissage entre les arts vivants nous amène à envisager notre pratique comme un art produit par des artistes curieux et polyvalents dans le but de décloisonner les possibilités du langage dramatique et scénique.