La chaîne PLANÈTE+ diffusera la nouvelle série documentaire L’ENVERS DU PARADIS qui révèle les dessous de différents lieux de vacances paradisiaques à partir du vendredi 3 janvier dès 21 h. La République Dominicaine, Tahiti, l’Île Maurice… Avec leurs plages de sable blanc, leurs lagons, leurs eaux turquoise et leurs luxuriantes végétations, voici donc des destinations de rêve. Mais derrière cette carte postale idyllique se cache une toute autre réalité : prostitution, trafic de drogue, pauvreté extrême et violence. Bienvenue dans l’envers du décor.
Les épisodes de la série documentaire L’ENVERS DU PARADIS seront diffusés tous les vendredis à 21 h, dès le 3 janvier sur la chaîne PLANÈTE+.
Épisodes à venir :
Vendredi 3 janvier à 21 h – Cap vert
Au large de l’Afrique de l’Ouest, le Cap-Vert et ses plages attirent de plus en plus de vacanciers. L’île de Sal, la plus attractive de l’archipel, possède tous les atouts pour développer un tourisme de masse. Mais derrière la carte postale, la réalité est tout autre : la pauvreté est omniprésente, la cocaïne qui arrive d’Amérique du Sud déclenche des guerres de gang.
Vendredi 10 janvier à 21 h – République Dominicaine
Prisée d’un nombre toujours plus grand de touristes depuis le début des années 2000, la République dominicaine a été bouleversée par leur nouveau statut de destination de rêve. Derrière la carte postale, en coulisses, quelles sont les conséquences du tourisme de masse sur ce coin de paradis ?
Vendredi 17 janvier à 21 h – Guyane, la guerre de l’or clandestin
Frontalière du Surinam et du Brésil, la Guyane est la plus grande région de France. Recouverte à 96 % d’une jungle impénétrable, elle est le lieu de nombreux trafics. Tandis que les gendarmes travaillent à démanteler d’importants réseaux de narcotrafics, la police de l’environnement traque des braconniers, dont l’activité est particulièrement intense. Leurs recherches les amènent à rencontrer quotidiennement des garimpeiros, clandestins brésiliens qui travaillent sur des sites d’orpaillage guyanais en toute illégalité. Le trafic d’or se double alors de trafic d’armes et de prostitution.
Vendredi 24 janvier à 21 h – Jamaïque, au pays de la Ganja
Jamaïque : berceau du Reggae et terre natale de célébrités telles que Bob Marley et Usain Bolt. Cette petite île de 250 kilomètres au Sud de Cuba est très populaire auprès des touristes, notamment pour ses plages de sable fin, son ambiance détendue et ses habitants accueillants. Mais pauvreté, violence et drogues viennent noircir cette belle carte postale.
Vendredi 31 janvier à 21 h – Madagascar
Direction Madagascar, à la découverte d’un pays en pleine reconstruction, pillé de ses richesses mais toujours inventif. La Grande Île acquiert son indépendance en 1960 et fait partie de l’Organisation Internationale de la Francophonie. Mais selon l’ONU, Madagascar appartient au groupe des pays les plus pauvres. Pourquoi ?
Vendredi 7 février à 21 h – Île Maurice
L’Ile Maurice, petit paradis terrestre… Ici les touristes peuvent nager avec les dauphins. Mais comment vivent les mauriciens ? Sur cette île, une femme sur cent se prostitue, et la méthadone et le subutex font des ravages…
Vendredi 14 février à 21 h – Playa del Carmen, les dessous du miracle touristique
Larges plages de sable blanc et eaux transparentes, bienvenue à Playa Del Carmen, station balnéaire située sur le littoral de la mer des Caraïbes, dans la péninsule de Yucatán. Pour les touristes, Playa del Carmen reste une carte postale rêvée : pendant que le littoral offre plage et plongée sous-marine, la 5e avenue les invite à la fête et au shopping. Pour les habitants de Playa del Carmen, c’est une autre histoire : hausse constante de la violence, délinquance, trafic, corruption et développement urbain hors de contrôle, des problèmes bien lointains de la 5ème avenue.
Vendredi 21 février à 21 h – Miami, loin de la plage
Des dizaines de kilomètres de plages et douze mois de soleil par an… Miami est une destination de rêve. Les touristes affluent du monde entier pour découvrir cette ville de Floride. Mais derrière ce visage se cache une autre face, celle d’une ville aux 5 millions d’habitants confrontés aux drames, violences et à la pauvreté.
Vendredi 28 février à 21 h – Nouvelle-Calédonie, recherche touristes désespérément
Nouvelle-Calédonie recherche touristes désespérément. Contrairement à ses voisines, la Nouvelle-Calédonie voit sa fréquentation touristique stagner autour de 100 000 visiteurs par an.
Vendredi 6 mars à 21 h – Saint-Barthelemy, l’île aux deux visages
Petite île française située au nord de la Guadeloupe, Saint-Barthélémy est une destination très prisée des stars et des grandes fortunes internationales. Si les habitants vivent principalement de ce tourisme haut de gamme, le revers de la médaille n’en est pas moins douloureux : les produits de consommation courante sont hors de prix.
Vendredi 13 mars à 21 h – Sainte-Lucie, la folie des grandeurs
Cette île volcanique offre des paysages sublimes, de belles plages et un climat tropical très appréciable toute l’année. Ste Lucie, c’est la douceur de vivre à la caribéenne et la garantie de vacances les pieds dans l’eau, un cocktail à la main. Le tourisme, comme dans la plupart des îles de la Caraïbe, est la principale source de revenus du pays et représente 60 % de son PIB. Le gouvernement a conçu un projet immobilier grandiloquent, la « Perle de la Caraïbe ». Au menu : casino, hôtels, villas et appartements de luxe, centre commercial, et surtout : un hippodrome. Agriculteurs, écologistes ou simples citoyens craignent que ce « Dubaï sur mer » change dramatiquement leur vie et la physionomie de leur île.
Vendredi 20 mars à 21 h – Tahiti
La Polynésie Française… à plus de 18 000 km de la France, ce territoire d’outre mer du Pacifique Sud compte 118 îles, et la moitié de sa population se concentre sur la plus grande : la mythique île de Tahiti. Avec ses plages de rêves, ses lagons aux eaux cristallines et sa végétation luxuriante l’archipel le plus célèbre de France est la destination par excellence des voyages de noces et des lunes de miel. Mais derrière cette image de carte postale, se cache une réalité beaucoup moins paradisiaque. Comme ailleurs, l’archipel n’a pas pu résister à la crise.