Surtout connu comme meneur du groupe Le Winston Band depuis douze ans, Antoine a roulé sa bosse un peu partout au Canada, en Europe et aux États-Unis avant de donner naissance à Vaillant Larock.
Après avoir dévoilé Haters gonna hate et Ahuntsic Blues, Vaillant Larock récidive avec Fendons le bois.
La chanson est disponible sur toutes les plateformes de téléchargement et d’écoute en continu.
Entouré de Guillaume Chartrain à la co-réalisation (Karkwa, Philippe Brach), de sa muse Florence (choriste et artiste visuelle) et d’un doux quatuor de musicien.nes, Vaillant laissera paraître un premier album, La cueillette des fleurs sauvages le 11 avril en 2025.
Fendons le bois
Mettez une bûche dans le poêle et réchauffez-vous le cœur au son du fingerpicking de guitare de Fendons le bois, qui vous bercera le long du huis-clos hivernal. Pour cette pièce, Vaillant Larock s’inspire du refrain traditionnel « Fendez le bois, chauffez le four » afin de traverser les rigueurs de la saison froide. Sa voix singulière et sincère se mêle ici à celle de Florence Décarie-Daigneault, à la fois choriste et muse, qui ajoute à la douceur du morceau.
Enregistrée live off the floor avec un quatuor de musiciens de style country-folk jouant avec retenue, Fendons le bois, est un hymne à l’intimité et à la tendresse, mais aussi un bel exemple du goût de Vaillant Larock pour les références aux bijoux de notre folklore.
À propos de l’artiste
Vaillant Larock, alias Antoine Larocque, est un troubadour montréalais qui chante l’amour et la douleur. Surtout connu comme meneur du groupe Le Winston Band depuis douze ans, Antoine a roulé sa bosse un peu partout au Canada, en Europe et aux États-Unis avant de donner naissance à Vaillant Larock, chansonnier nourri par la végétation et les racines.
Auteur-compositeur-interprète depuis l’adolescence, détenteur d’une maîtrise en littérature et multi-instrumentiste, Vaillant puise dans la tradition lyrique française et dans le folk américain pour créer des pièces où la quête spirituelle se mêle au dévouement amoureux et à l’observation sociale, où le passé dépoussiéré rencontre le présent avec pertinence et sensibilité. Son art propose un ancrage dans un monde où tout va trop vite.