Présenté en grande première aux Rendez-vous du cinéma québécois (RVCQ 2017), BGL de fantaisie de Benjamin Hogue est maintenant disponible en DVD et VSD sur www.f3msurdemande.ca
Poursuivant sa tournée au Québec, le film sera présenté le 29 septembre au Festival du film de Saint-Séverin en Beauce, et le 27 novembre au Cinéma Princesse, à l’occasion des Projections Cinédit organisées par Vues dans la tête de Rivière-du-Loup, en présence du cinéaste.
BGL DE FANTAISIE de Benjamin Hogue : Bande-annonce from Les Films du 3 mars on Vimeo.
BGL de Fantaisie – Un film de Benjamin Hogue – Production : La Soute | Distribution : Les Films du 3 mars – Documentaire | 83 minutes | 2017 | Québec, Canada – Version originale en français et anglais – avec sous-titres français et anglais
Après vingt ans de carrière, le collectif en art contemporain BGL (Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière) se voit confier la réalisation de trois projets d’envergure. Le défi est de taille : produire deux œuvres d’art public monumentales – une à Montréal et l’autre à Toronto – et représenter le Canada à la 56e Biennale de Venise. Le moment ne pouvait être mieux choisi pour braquer la caméra sur le trio fantaisiste et jeter du même coup un regard rétrospectif sur une œuvre prolifique et déroutante. Un documentaire aux allures de conte, où s’entremêlent humour, extravagance, onirisme et camaraderie.
QUI EST BGL ?
Le collectif d’artistes BGL, installé à Québec, est connu pour ses installations qui prennent possession des lieux d’exposition et des espaces publics. Décrits comme étant « provocants, critiques et explosifs », leurs travaux ont recours à l’humour et à l’extravagance pour attirer l’attention sur des enjeux sociaux et politiques. Les trois artistes : Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière, ont commencé à se faire connaître dès leur sortie de l’Université Laval, en 1996.
« Dans notre travail, nous éprouvons un réel plaisir à faire oublier le cadre habituel et conventionnel où l’art est vécu, afin d’abattre les distances entre l’homme et l’art et de ramener le spectateur, à vif et déséquilibré, à vivre une expérience physique et active. Nos œuvres visent à rejoindre des préoccupations sociales en tentant de jeter un regard évocateur sur les sociétés auxquelles nous participons. »
Les Films du 3 mars est soutenu par plus d’une centaine de membres issus du milieu cinématographique ainsi que par les institutions suivantes: Conseil des Arts du Canada; Conseil des arts et des lettres du Québec; Conseil des arts de Montréal, Téléfilm Canada; Société de développement des entreprises culturelles (SODEC).