Bingo Club mélange des voix chaudes avec une instrumentation soft rock. Mené par Martin, Bingo Club se réclame autant du psychédélisme des années 70 à la Procol Harum que des mouvances actuelles comme Ariel Pink.
Mixé par Al Carlson (Weyes Blood, St. Vincent…), le maxi Separated qui sort en septembre sur le label parisien Fuzo nous fait découvrir le talent de mélodiste charmeur de son auteur qui a écrit ce titre aux cours de ses voyages entre l’Europe, le Sahara, l’Himalaya et les Etats-Unis.
Premier extrait du EP Separated, Dance Me raconte l’histoire d’un danseur malade et souffrant qui, dans un élan d’optimisme, veut croire que l’amour de son prochain le guérira à jamais. La vidéo a été tournée à Venice Beach à la super 8 en avril 2018, et met en scène des patineurs sur quad en danse synchronisée. Un titre hypnotique pareil à un mirage qui incite à devenir membre du Bingo Club.

Bingo Club est à découvrir dès septembre 2020 avec Separated, un premier EP au charme pop et nostalgique qui sort sur le label Fuzo Music Company. Mixé par Al Carlson (Jessica Pratt, Weyes Blood, Tim Hecker, Ariel Pink…), Bingo Club nous entraine dans un monde riche à la lisière du rêve.
Le projet est né à Brooklyn, où un premier maxi est sorti chez Whale Watch Records. Aujourd’hui le Bingo Club ré-ouvre ses portes sur le jeune label parisien Fuzo. Bingo Club est mené par Martin qui s’entoure de personnages imaginaires et d’amis bien réels pour mener à bien ses rêves musicaux en technicolor. Des chanteuses et des musiciens de tous bords sont venus à sa demande pour former un club où chacun vient jouer selon ses envies et aspirations du moment.

Le premier EP “Separated” a été conçu sur la route entre l’Europe, le Sahara, l’Himalaya et les Etats-Unis. Quatre titres écrits en anglais, en français, en espagnol, chantés en solo ou en duo. La formule est mouvante. C’est un mélange de voix chaudes et d’instrumentations soft rock, quelque part entre The Durutti Column, Mazzy Star, Ariel Pink ou Procol Harum. L’ambiance qui s’en dégage est légère et teintée de mélancolie.
Premier extrait, Dance Me nous séduit avec ses images californiennes. On y croise un patineur antisocial et lunatique qui veut croire dans un élan d’optimisme que l’amour de son prochain le guérira à tout jamais. Il ne vous reste plus qu’à entrer dans la danse et à rejoindre le Bingo Club.

« Dance me dance me. I want to part.
I’m a different man with different glory.
I come along. Dance me dance me I’m roaming freely
I’m out the cage and you’re around me. I move around. »

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