EN BREF
Le cadre financier du Parti Québécois prévoit des dépenses totales de 29,9 G$, et des nouveaux revenus de l’ordre de 12,3 G$; à la fin du mandat, le ratio dette/PIB sera de 39,4 %.
* La pérennité des services publics est le principal enjeu qui a guidé nos choix. * D’importants investissements sont aussi prévus dans les transports collectifs. * Le maintien du pouvoir d’achat des Québécois commande également des mesures fortes. * Nous avons porté une attention particulière à la justice fiscale.
Enfin, seul le Parti Québécois a reçu l’approbation d’un économiste indépendant pour son cadre financier.
Face à une inflation galopante, à l’incertitude généralisée, et aux besoins pressants qui se font sentir et se multiplient dans toutes les sphères de notre société, le Parti Québécois a clairement fait son nid : préserver les services publics. « Non, nous ne baisserons pas les taxes ni les impôts. Ce serait un choix complètement irresponsable, alors que les Québécoises et les Québécoises n’ont jamais eu autant besoin de services publics de qualité. Nous avons choisi de ne pas faire de fausses promesses et nous n’inventons aucun revenu, comme le font les autres partis; nous misons plutôt sur l’intelligence des électeurs, qui savent que le Québec a besoin de meilleurs soins et services de santé, de plus de logement social, de nouvelles places en garderie et d’écoles en bon état. Agir autrement, remettre à plus tard, cela équivaudrait à un aller simple vers l’austérité », a insisté Paul St-Pierre Plamondon.
Outre ce choix responsable pour aujourd’hui et pour demain, le Parti Québécois entend investir massivement dans les transports collectifs. « Nous convions les Québécoises et les Québécois à un véritable changement de société. Miser sur les transports en commun nous aidera à atteindre nos objectifs de réduction des GES, en plus d’améliorer l’occupation de notre immense territoire. Notre objectif est d’offrir à la population de véritables solutions sur le plan de la mobilité, modernes et adaptées, afin que la voiture solo devienne la dernière option envisagée. Pour y arriver, nous allons plus que doubler les montants alloués aux transports collectifs dans le PQI, pour atteindre 30 G$ d’investissements sur la période de 10 ans », a illustré le chef et candidat dans Camille-Laurin.
Le Parti Québécois fait par ailleurs le choix d’aider les citoyennes et les citoyens qui en ont le plus besoin. « Avec nous, les personnes et les familles à faibles et à moyens revenus bénéficieront d’un coup de pouce qui leur permettra d’absorber la hausse de leurs dépenses causée par l’inflation. C’est important qu’elles cessent de s’appauvrir, qu’elles maintiennent leur pouvoir d’achat! Dans les circonstances, on ne laissera tomber personne », a pour sa part assuré Alexis Gagné-Lebrun.
La justice fiscale est aussi au cœur des préoccupations du Parti Québécois. « Les Québécois acceptent d’investir en taxes et en impôts, du moment que leurs services sont à la hauteur, et tant que chacun paie sa juste part. Or, nous devons veiller à maintenir cet équilibre, et cela commande des mesures courageuses, comme le fait de taxer les GAFAM et de lutter contre les paradis fiscaux. En outre, il faut cesser de mettre des bâtons dans les roues aux entrepreneurs et aux travailleurs expérimentés qui voudraient demeurer ou redevenir actifs. C’est le genre de contrat, équitable et équilibré, que je veux sceller avec la population du Québec », a proposé le chef du Parti Québécois.
Parmi tous les cadres financiers présentés jusqu’à maintenant, seul celui du Parti Québécois a reçu l’approbation d’un économiste indépendant. « Nous avons choisi la rigueur et la transparence. Nous avons choisi de dire la vérité aux Québécois, et de leur faire confiance », a insisté Paul St-Pierre Plamondon.
Le cadre financier (en fichier Excel) sera rendu disponible sur le site Internet du Parti Québécois.