Le prolifique auteur-compositeur-interprète lance un maxi aux titres brillants, conçus pour (ré)animer le corps et l’esprit. Quelques semaines à peine après avoir dévoilé «Toxico», une émouvante ballade composée et interprétée en duo avec Zagata et dont le vidéoclip cumule déjà plus de 62 000 vues, Alexandre Désilets poursuit sur sa lancée.
Doté de sa signature impossible à calquer, il offre sur DOWN DE NOS HIGH de nouvelles chansons-kaléidoscopes : étincelantes et mouvantes.
Faisant toujours équipe avec le multi-instrumentiste Jean-François Beaudet avec qui il compose et co-réalise, l’artiste met à contribution sa capacité à enivrer au moindre souffle, au gré des rimes accrocheuses et des arrangements entraînants. Et sur les temps cambrent les dos. De la piècetitre du EP, une habituée des ondes radiophoniques depuis sa sortie au printemps dernier, jusqu’aux inédites et fort efficaces «Dernier cri»,
«Amour aveugle» et «Passer tout droit», le mood mi-rétro, mi-électro est sans équivoque: Désilets nous livre, comme il sait si bien le faire, les cœurs en bataille à haut tempo.
Près de deux ans après la sortie d’EXTRAVAGANZA, une boucle semble ainsi se boucler. En effet, tandis que l’artiste de tous les possibles — à ses aises dans une pop vivifiante tout comme dans l’orchestral cérémonieux — nous confie sa récente proposition, il avoue déjà préparer la suite, qui prendra la forme d’un long jeu. Depuis toujours inspiré par ceux qui osent et savent se réinventer, il promet d’ailleurs un virage : prochain, assurément, mais également sobre et des plus personnels.
Avec une sensibilité et une maîtrise remarquables, l’artiste habite le paysage culturel comme peu y parviennent et ce, depuis plus d’une décennie.
Sans contredit, sa voix ample et texturée demeure l’instrument autant que le moteur de sa création. Et là où Alexandre Désilets veut se rendre, il se rend.