Nedjim Bouizzoul se produira le 28 novembre prochain au Cabaret du Mile-end en compagnie de nombreux invités pour célébrer les dix ans du groupe Labess. Tantôt en tournée et parfois en mode troubadour, le groupe sillonne l’Europe, les pays Arabes et bien sur le Canada, où il fait découvrir les rythmes de la musique gnawa, le chaabi et le flamenco. Après « Tout va bien » en 2007 et leur titre phare Babour El Leuh, ils sortent en 2012 un second album « Identité » qui et tout aussi rythmé que le précédent. Très engagés dans leur texte, les membres du groupe travaillent sur un troisième album qui permet d’apprécier le titre « Chouffou Ma Sar » et « La Guerre », deux chansons qui sont d’actualité. Dix ans de Labess c’est aussi le regard que portent les membres du groupe sur leur propre formation :

Tacfarinas Kichou : « Labess, ce sont des rencontres, des voyages et des défis. Il y a eu une grande progression au niveau musical. Nous avons exploré et approfondi plusieurs styles : le gnawa, la chaabi, le flamenco. Il y a de la recherche et plus de travail dans notre musique. Nous avons aussi collaboré avec d’autres artistes d’ici et d’ailleurs et ça c’est une énorme richesse! La complicité que nous avons maintenant nous permet d’avoir une très bonne aisance sur scène, ce qui nous donne plus de facilité lorsqu’il est question d’improvisation »

Gregoire Carrier bonneau : « Labess représente la liberté. C’est une force qui réunit les gens de tous les âges et de toutes les nationalités. Labess c’est le talent et le charisme de Nedjim qu’il catalyse pour le groupe. J’ai connu Labess en premier il y a déjà quelques années, en faisant le son pour eux aux Bobards. Lorsque je les ai vu pour la première fois, j’ai été très impressionné par la voix de Nedjim et le groove du band. Aujourd’hui, je fais partie du groupe comme bassiste et j’en suis fier! Je trouve que c’est un groupe qui vieillit très bien! » Nedjim Bouizzoul se produira le 28 novembre prochain au Cabaret du Mile-end en compagnie de nombreux invités pour célébrer les dix ans du groupe Labess. Tantôt en tournée et parfois en mode troubadour, le groupe sillonne l’Europe, les pays Arabes et bien sur le Canada, où il fait découvrir les rythmes de la musique gnawa, le chaabi et le flamenco. Après « Tout va bien » en 2007 et leur titre phare Babour El Leuh, ils sortent en 2012 un second album « Identité » qui et tout aussi rythmé que le précédent. Très engagés dans leur texte, les membres du groupe travaillent sur un troisième album qui permet d’apprécier le titre « Chouffou Ma Sar » et « La Guerre », deux chansons qui sont d’actualité. Dix ans de Labess c’est aussi le regard que portent les membres du groupe sur leur propre formation :

Tacfarinas Kichou : « Labess, ce sont des rencontres, des voyages et des défis. Il y a eu une grande progression au niveau musical. Nous avons exploré et approfondi plusieurs styles : le gnawa, la chaabi, le flamenco. Il y a de la recherche et plus de travail dans notre musique. Nous avons aussi collaboré avec d’autres artistes d’ici et d’ailleurs et ça c’est une énorme richesse! La complicité que nous avons maintenant nous permet d’avoir une très bonne aisance sur scène, ce qui nous donne plus de facilité lorsqu’il est question d’improvisation » Gregoire Carrier bonneau : « Labess représente la liberté. C’est une force qui réunit les gens de tous les âges et de toutes les nationalités. Labess c’est le talent et le charisme de Nedjim qu’il catalyse pour le groupe. J’ai connu Labess en premier il y a déjà quelques années, en faisant le son pour eux aux Bobards. Lorsque je les ai vu pour la première fois, j’ai été très impressionné par la voix de Nedjim et le groove du band. Aujourd’hui, je fais partie du groupe comme bassiste et j’en suis fier! Je trouve que c’est un groupe qui vieillit très bien! »

Propos recueillis par Réda Benkoula

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