Coup dur pour les médias imprimés depuis le début de la pandémie de la Covid-19 au Québec, dans le reste du Canada et partout ailleurs dans le monde. Dans l’édition imprimée du 17 décembre, le journal 24 annonçait sur ses pages qu’il allait faire relâche, ce que confirmait le journal le devoir sur ses colonnes.
La chute des revenus publicitaires en raison de la crise a poussé de nombreux médias imprimés à réévaluer leurs stratégies ou à s’adapter avec la conjoncture comme on a pu le voir avec les journaux de l’ex-groupe de capital media (le droit, le nouvelliste, le soleil,) qui ont définitivement mis fin à l’édition papier.
Le journal Métro avait suspendu son impression en août dernier avant de reprendre en septembre avec une formule de deux jours par semaine (mercredi et vendredi) au lieu de cinq. Le journal Atlas Montréal qui avait l’habitude d’être sur les tablettes aux deux semaines a cessé son impression 2020 à l’image de plusieurs autres médias. La situation actuelle qui n’est pas près de s’améliorer pour les médias imprimés nécessite de repenser le modèle d’affaires et d’être présent sur le Net.
En attendant des jours meilleurs la Direction de L’initiative souhaite le meilleur à tous les acteurs du domaine des médias.
Réda Benkoula