Alors que le monde du sport traditionnel est à l’arrêt forcé et très fortement impacté par la crise sanitaire du Covid-19, le sport électronique se présente comme une alternative pour les amateurs de sensations compétitives. ES1, première chaîne francophone exclusivement dédiée aux sports électroniques, se mobilise pour proposer un service complet, avec toujours plus de compétitions et de nombreuses émissions assurées à distance par les animateurs et analystes de la chaîne.
Depuis plusieurs semaines déjà, la chaîne a su s’adapter pour continuer de proposer des compétitions inédites avec notamment la LFL (Ligue française sur League of Legend), les Rocket League Championship Series, qui devraient séduire les amateurs de soccer et de voiture, ou encore la ligue internationale Blast Premier sur le jeu Counter Strike. Toutes ces compétitions qui se jouaient lors d’événements physiques se poursuivent en effet, désormais, en ligne.
La grille des programmes a également été revue, avec un rythme de diffusion supérieur. Les différents intervenants d’ES1 ont été équipés pour pouvoir assurer une continuité des programmes depuis chez eux, tout en respectant les standards de qualité de la chaîne. Les magazines sont réalisés en ligne, via webcams, avec les différents chroniqueurs et invités. Ce nouveau mode de fonctionnement a par ailleurs permis d’obtenir des invités majeurs qu’il aurait été compliqué de recevoir en plateau, car établis aux quatre coins du monde. Des programmes spéciaux ont aussi été mis en place, comme un module où des personnalités de l’Esport et du gaming partagent leurs jeux favoris pendant le confinement.
Le sport électronique fait preuve de dynamisme en cette période de crise. C’est pourquoi ES1 a décidé de lancer un nouveau magazine intitulé « Il va y avoir du sport ». Ce nouveau programme dès le 16 avril, abordera l’actualité sportive sous un angle Esport et comment les sports traditionnels trouvent dans le sport électronique un relais nouveau.
Pour Nicolas GICQUEL, Directeur des Programmes, « ES1 a su s’adapter à la situation actuelle en mobilisant ses talents et ses équipes afin de proposer des programmes et des contenus toujours inédits. La scène du sport électronique reste très dynamique. La chaîne qui la représente se devait de proposer au large public qui la regarde une offre aussi riche qu’à la normale, voire encore plus ».
Pour Bertrand AMAR, fondateur de la chaîne, « L’arrêt des compétitions sportives a incité de nombreuses chaînes de sport, comme BeIN Sports en France ou Fox aux États-Unis à diffuser des compétitions d’esport. Il en est de même pour les grands champions sportifs traditionnels qui participent en ce moment à des compétitions de jeux vidéo depuis chez eux. C’est ainsi de nombreux téléspectateurs qui découvrent en ce moment l’esport, notamment sur ES1 dont la démarche a toujours été de rendre le sport électronique accessible au plus grand nombre ».