Les casinos en ligne constituent la sphère de l’industrie des jeux de hasard et d’argent la plus lucrative au monde. Aujourd’hui, certains États ou provinces préfèrent garder le monopole de ce secteur pour une réglementation plus rationnelle face au problème de santé publique. Les casinos en ligne canadiens populaires comme ceux examinés sur casinosapproved.info peuvent offrir aux joueurs une expérience sûre et immersive. Néanmoins malgré cette gestion étatique sur l’offre du jeu, plusieurs joueurs s’inscrivent et participent à des jeux illégaux.
La législation québécoise sur l’industrie des jeux en ligne
Les jeux d’argent et de hasard restent et demeurent une activité de divertissement. Malheureusement, la plupart des joueurs s’inscrivent sur des sites étrangers ce qui les pousse généralement à la faillite ou à la non-obtention des gains obtenus. Les participants faisant face à des difficultés et au risque de l’addiction, l’État du Québec s’est trouvé dans l’obligation de réglementer ce secteur. C’est donc pour ces raisons que le gouvernement québécois a lutté pour la protection des joueurs en instaurant une législation à l’égard des casinos en ligne : c’est la création du Loto-Québec sous le monopole de l’État.
Le Québec s’est conformé à la régulation de ce secteur qui avait commencé en France depuis 2010. Aujourd’hui avec la création de l’autorité nationale des jeux (ANJ), la France a réussi à réglementer les jeux de paris en ligne et de poker et également étendu son domaine de prédilection. Malgré ces nombreuses réglementations, les participants n’ont jamais cessé de jouer au casino en ligne à l’étranger. C’est ce qui a d’ailleurs enrichi les promoteurs étrangers. Face à cette situation, l’État québécois devrait trouver des solutions adéquates qui lui permettront de récupérer les capitaux qui s’envolent vers d’autres provinces.
Les solutions prisent par l’État d’Ontario face à cette situation :
L’État d’Ontario quant à lui face à cette situation a tout de suite compris qu’il fallait renverser les tendances en faveur de ses citoyens. Il fallait donc quitter l’époque de la prohibition des jeux de casino en ligne pour une nouvelle ère. Puisque les estimations ont révélé que plus de 500 millions de dollars sont dépensés dans les casinos étrangers qui ne payent même pas les taxes et impôts. Alors que la seule entité autorisée à offrir ces jeux ne récolte qu’une infirme partie de ce revenu.
Cette province canadienne décide par son gouvernement Ford d’octroyer par la CAJO des licences à des opérateurs privés dans le but de verser des redevances. Cette solution profitera à cet État et boostera ses capacités non seulement sur le marché des casinos en ligne et aussi son économie.
Est-ce pour autant la solution idéale? Seul le temps nous le dira. Faut-il légaliser certains opérateurs de jeux et sensibiliser la population Québecoise ou au contraire interdire la totalité du marché? En France, là où les casinos en ligne sont illégaux, ce sont plus d’un demi-million de joueurs qui se rendent et jouent sur des sites illégaux chaque année. De quoi affoler l’Autorité Nationale des Jeux de l’hexagone.