La Maison Théâtre est heureuse de présenter LOU DANS LA NUIT du 9 au 20 mars prochain. Création lumineuse et intrigante, LOU DANS LA NUIT explore le thème de la peur de lobscurité et de linconnu à laide dune esthétique contemporaine recherchée. Véritable périple scénique entre ombres et lumière pour les enfants de 4 à 8 ans, le spectacle invite le jeune public à apprivoiser ses peurs, à jouer avec et même à les aimer!
Le jour, Lou na pas peur de sa maison. Elle samuse dans sa chambre, dans le couloir, mais ne saventure jamais dans lescalier du sous-sol trop inquiétant. Une nuit de pleine lune, un gros bruit la tire du sommeil. Doù vient-il ? Quest-ce que cest ? Lou décide de quitter son lit et part à la découverte de sa maison plongée dans le noir et soudain étrangère. Au rythme du tic-tac des secondes, elle affronte les ombres, frissonne au son de ronflements monstrueux, dompte son salon et arrive devant cette porte toujours verrouillée celle qui mène en bas. Y descendra-t-elle ?
Création du Théâtre des Confettis, LOU DANS LA NUIT enchante le public à laide dune voix narrative énigmatique, de projections vidéo et déclairages monumentaux qui transforment lespace de manière fascinante pour révéler le parcours de Lou lors de cette nuit pas comme les autres. Grâce à cette proposition scénographique et dramaturgique inusitée, les émotions vives font leur chemin, sans compter lajout dune pétillante touche dhumour. Avec ce spectacle, le Théâtre des Confettis place une nouvelle fois les enfants au centre de ses préoccupations, pour leur regard neuf, curieux et vigilant, pour le rêve, la poésie, louverture et lintimité quils et elles insufflent.
LOU DANS LA NUIT
THÉÂTRE DES CONFETTIS
Pour les publics de 4 à 8 ans / Du 9 au 20 mars 2022
Texte et mise en scène : Maxime Robin / Interprétation : Marianne Marceau, Catherine-Oksana Desjardins et Éric Leblanc / Scénographie : Erica Schmitz / Conception lumières et vidéo : Keven Dubois / Musique et environnement sonore : Josué Beaucage / Direction artistique : Hélène Blanchard et Judith Savard / Photos : Stéphane Bourgeois