La soudure, exquise mise en bouche du deuxième long jeu de l’eustachois Mathieu Bérubé, qui poindra de manière indépendante à la mi-août 2019. L’extrait est, depuis mercredi, disponible en écoute exclusive sur les ondes de CISM et de manière officielle sur toutes les plateformes intersidérales à compter de maintenant.
Une précédente collaboration entre Mathieu Bérubé et Antoine Corriveau avait donné naissance à la chanson L’Âge d’or, libérée de son coffre-fort en janvier 2018. Cette chanson se retrouve d’ailleurs, elle aussi, sur l’album à paraitre. La collection de morceaux musicaux pige ses influences du côté de l’Europe, tel qu’en témoigne La soudure. De ce fait, Mathieu s’est entouré de musiciens et de collaborateurs immensément talentueux, qui rehaussent la nature sensuelle du texte, grâce aux homériques arrangements. La voix mélodique et poignante de ce dernier est placée à l’avant du mixage sonore, alors que les cordes et les cuivres enrichissent le groove, déposé́ par la section rythmique. On y entend, entre autres, Stéphane Bergeron (Karkwa, Matt Holubowski) à la batterie, Cédric Martel (Hubert Lenoir, Tire le coyote) à la basse, Martin Lizotte au piano, Simon Piché-Castonguay (Tambour) sur le wurlitzer, et Jérôme Dupuis-Cloutier (Bernard Adamus) à la trompette. Les arrangements de cordes sont de Mélanie Venditti. Marie-Pier Meilleur, quant à elle, signe le sublime visuel qui accompagne La soudure.
Tous les détails entourant la sortie de l’album seront dévoilés dans un avenir très rapproché…
BIO
La banlieue de Saint-Eustache a vu naître Mathieu Bérubé par un clair après-midi de 1993. Il a depuis achevé ses études inférieures et étudié la guitare classique, raffiné son style et distingué ses manières. Il consacre actuellement son temps à l’écriture et l’enregistrement d’un troisième album de chansons. Il s’agit d’une poésie ludique orientée vers l’autre ; le désir et la sensualité. Une section rythmique dénote les accents rock tandis que le folk originel de ces chansons conduit la forme. Les synthétiseurs, les cordes, les cuivres et la guitare élèvent une harmonie généreuse. Entre lyrisme et liturgie, une quelconque sorte de baryton au tonus traînant prend place au centre de cette communion.