Montréal, le 18 juillet 2016 – Vivez une semaine effervescente grâce à une programmation en salle extraordinaire, au plus proche des artistes ! Démarrage en grand ce lundi avec trois soirées-événements. Un concert unique au Théâtre Fairmount : Manu Dibango, père de la musique du monde, passera le relais à la relève artistique de Montréal. Parallèlement, Yael Naim fera vibrer le public du National, avec un répertoire lumineux entre classique et pop, jazz et folk. Et le Club Balattou accueillera le reggae africain décomplexé de Dakka. Mardi, également 1er jour de notre programmation extérieure sur le Parterre du Quartier des spectacles, laissez-vous charmer par la fusion du blues du désert au blues du Mississippi proposée par Faris. Enfin, mercredi, Daby Touré se raconte en toute sincérité… et en wolof. Au plus près du cœur.

 

YAEL NAIM [France-Israël]-18 juillet 2016 – 21:00-Le National-Yael Naim est lumineuse. L’interprète féminine de l’année 2016 aux Victoires de la musique, auteure du phénoménal succès New soul, offre une proposition musicale vibrante. Pour la première fois à Montréal avec son groupe !

MANU DIBANGO rencontre La Relève-18 juillet 2016 – 20:00-Théâtre Fairmount-Le père de la musique du monde passe le relais à la relève artistique de Montréal. Sur scène, les artistes ambassadeurs Veeby, Élété et Rookie Rook interprèteront les nouvelles sonorités de la musique du monde et lui rendront hommage. Manu Dibango sera l’invité du grand gagnant des Syli d’Or 2016, la formation cubaine Proyecto Iré. Une soirée unique à l’image de ce 30e anniversaire !

DAKKA [Côte d’Ivoire-Québec]-18 juillet 2016 – 20:30-Club Balattou-Comme Alpha Blondy et Tiken Jah Fakoly, Dakka produit un reggae africain décomplexé. Revendiquant la fierté et l’espoir du continent, sa musique est un outil de conscientisation à la justice sociale, une porte ouverte sur un monde meilleur.

FARIS [Italie-Sahara]-19 juillet 2016 – 20:30-Club Balattou-Faris, qui jusqu’alors ne jurait que par la musique d’Hendrix, s’est tranquillement laissé inspirer par Tinariwen. Il marie le blues du désert au blues du Mississippi, en reprenant les grands classiques et adaptant les paroles en tamasheq. « Faris est incroyable. Sa musique produit un mouvement extraordinaire ! » s’est exclamé le bluesman américain Taj Mahal.

DABY TOURÉ [Sénégal]-20 juillet 2016 – 20:30-Club Balattou-« Avec Daby Touré, le wolof se frotte aux instruments occidentaux, les timbres subsahariens au français ou à l’anglais, tandis que se faufilent par-ci par-là quelques heureuses sonorités électro » (RFI, 2015).

Read previous post:
Close