Avec sa voix douce et jouant merveilleusement au Oud, Lamia Yared a transporté le public dans un voyage à l’ère Ottomane en l’invitant à écouter des pièces arabo-andalouses, des chants du levant qui viennent surtout de composition de Alep en Syrie, d’Égypte et d’Andalousie. En effet, le décor moyen-orientale et intime de la Galerie était propice à la représentation de la chanteuse d’origine égyptienne qui était accompagnée de Nicolas Royer Artuso au Violon et Nathaniel Huard au Riqq. Rédaction (L’initiative)