Alors que les Sommets du cinéma d’animation débutent ce mardi 1er décembre, Tënk met de l’avant le documentaire animé ! La plateforme en ligne présente dès aujourd’hui des courts et longs métrages s’étant démarqués lors des précédentes éditions de ce rendez-vous de l’animation. Cheminant d’une enquête familiale au coeur du conflit yougoslave au journal d’une hypocondrie, de souvenirs d’un premier amour à une quête de la justice pour victimes de violences sexuelles, les cinéphiles pourront découvrir un panorama d’oeuvres animées fascinantes et éblouissantes.
La plateforme ajoute aussi à son offre l’un de ses coups de coeur, Dernières nouvelles du cosmos de la réalisatrice primée Julie Bertuccelli, qui raconte l’histoire poignante d’une jeune femme autiste, emmurée dans son corps… jusqu’au jour où l’on découvre qu’elle peut communiquer grâce à un jeu de lettres. Dotée d’une intelligence vive et atypique, la jeune femme de 20 ans se met à rédiger des textes puissants à l’humour corrosif. Un film sur la neurodiversité qui remet en question toutes nos idées sur l’intelligence.
Dès maintenant sur Tënk :
●● Memorie di Alba de Maria Steinmetz et Andrea Martignoni, 6 min, 2019.
Alba se rappelle comment elle est tombée amoureuse de Pierino, un ami de son frère Tullio, au début des années 50 en Italie.
●● Zero Impunity de Nicolas Blies & Stéphane Hueber-Blies et Denis Lambert, 92 min, 2019.
Depuis des siècles, les crimes sexuels dans les zones de guerre entraînent des conséquences dévastatrices pour les survivant.e.s et leur entourage. Zero Impunity raconte le combat pour la justice de certaines de ces victimes.
●● Chris the Swiss de Anja Kofmel, 90 min, 2018.
En plein conflit yougoslave, Chris, jeune journaliste suisse, est retrouvé assassiné dans de mystérieuses circonstances. Sa cousine, devenue grande, enquête.
●● Sous le cartilage des côtes de Bruno Tondeur, 13 min, 2018.
C’est l’histoire d’un mec qui va mourir… Peut-être.
●● Dernières nouvelles du cosmos de Julie Bertuccelli, 85 min, 2016.
Malgré son handicap autistique, Hélène Nicolas révèle, après des années d’incommunicabilité, qu’elle sait lire et écrire. C’est à ses 20 ans que sa mère découvre qu’elle peut communiquer en agençant des lettres plastifiées sur une feuille de papier.
