Trace d’Ours revient en force avec un troisième extrait radio intitulé « Passer l’temps ». Avec cette chanson, les Ours ont décidé d’y aller avec une sonorité country et plus chaleureuse pour appuyer le texte de Jonathan Pilon (chanteur) qui revient, avec nostalgie, sur tous les beaux moments d’une relation antérieure en disant que « les gens ont besoin d’amour ». Avec un refrain accrocheur qui vous fera certainement sourire, Trace d’Ours souhaite revenir sur scène le plus rapidement possible pour passer l’temps avec vous en 2021.
À propos de Trace d’Ours :
En 2020, le groupe a lancé un premier album intitulé « Sortie du bois » ainsi que deux extraits radio qui ont été diffusés sur plus de 40 stations à travers le Québec et dans plusieurs radios francophones au Canada. Grâce à une bonne distribution numérique, la chanson a été entendue à travers le monde dans plus d’une vingtaine de pays. Le groupe, composé de Jonathan Pilon, Philippe Germain, Louis Jeay-Beaulieu, Philippe Leduc et Vincent P. Ravary, vous invite à découvrir ce nouveau « single » tiré de leur premier album paru en novembre dernier.
Passer l’temps
Fait une couple de semaines
que t’occupes toutes mes pensées.
Dans ma douche le matin
où jusqu’à ce que j’revienne de travailler.
Avec tes yeux couleur noisette
pis ton sourire qui m’fait craquer,
j’voudrais ben parler d’ton corps nu
mais faudrait ben l’déshabiller.
La première fois qu’on s’est croisés
c’était y’a 4 ans passés.
Dans un bar, ti-peu paqueté,
tu m’avais «shooté» ton petit nom.
Pis comme un boeuf qui s’fait marquer,
je l’avais jamais oublié.
C’est là que tout a «starté»
entre les shots de Sortilège pis la musique de fuckés.
REFRAIN :
c’t’avec toé que j’veux passer l’temps
te mettre la bague au doigt
pis qu’nos ti-coeurs collent comme deux aimants
c’t’avec toé que j’veux passer l’temps,
avoir deux, trois flots
pis s’trouver beaux avec nos ch’veux blancs
J’pense à nos rides de char
en écoutant du Cayouche,
nos week-end en camping
où quand qu’on va pêcher à mouche.
Tirer du gun perdus dans l’bois
en s’buvant du coureur des bois
c’est ça qui m’a séduit pour vrai
autant qu’la beauté de la forêt
Quand tu t’levais le matin
avec tes cernes jusqu’aux oreilles,
j’te trouvais belle avec ton air bête
pis ta mauvaise haleine j’t’embrassais pareille.
J’sais que j’suis pas tout l’temps évident
pis que j’ai un osti d’tempérament
mais grâce à toé j’me sent bien
surtout la face entre tes deux seins.
REFRAIN :
C’t’avec toé que j’veux passer l’temps,
te mettre la bague au doigt
pis qu’nos ti-coeurs collent comme deux aimants.
C’t’avec toé que j’veux passer l’temps,
avoir deux, trois flots
pis s’trouver beaux avec nos ch’veux blancs.
C’t’avec toé que j’veux passer l’temps,
te mettre la bague au doigt
pis qu’nos ti coeurs collent comme deux aimants.
C’t’avec toé que j’veux passer l’temps,
avoir deux, trois flots
pis s’trouver beaux avec nos ch’veux blancs.