Montréal, le 6 avril 2016. – Un compte rendu dans Le Journal de Montréal laisse à penser que le Festival international de cinéma Vues d’Afrique bénéficie d’un traitement particulier de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Vues d’Afrique tient à rétablir certains faits. Depuis la création de l’ACCT, ancêtre de l’OIF, Vues d’Afrique a bénéficié du soutien de l’Organisation internationale depuis ses tout débuts, en 1985. C’était alors l’Agence de coopération culturelle et technique. Monsieur Jean-Marc Léger, avait largement contribué à sa création, souhaitant favoriser l’ouverture du Québec à l’Afrique.
Cette contribution ne s’est jamais démentie depuis 32 ans tout en demeurant modeste : 15 000 Euros (soit autour de 22 500 $) destinés aux voyages et aux prix décernés aux cinéastes africains et créoles. Elle représente moins de 5 % du budget. La soirée consacrée à la première mondiale du film sur Madame Jean, ce dont Vues d’Afrique, se félicite, ne bénéficie d’aucun financement supplémentaire.
L’animation et la réception qui suivront la projection du film sont offertes par le Consulat général d’Haïti pour souligner la présence exceptionnelle de 3 grandes personnalités Haïtiennes dont l’artiste lauréate du concours d’affiche, Marie-Geneviève Morin et la cinéaste à qui le CIRTEF rend hommage, Martine Chartrand.