Les Films du Paria préparent le prochain film d’André Forcier, La Beauté du monde, produit par Linda Pinet et Louis Laverdière.

Au cœur de l’histoire, la rencontre d’Albert Payette (Roy Dupuis), apiculteur qui fabrique un vin de miel très prisé, l’hydromel des fleurs oubliées et de Marie-Victorin (Yves Jacques) revenant sur terre en 2019 parce qu’il trouve le ciel plate à mourir. Leur amitié nous en fera voir de toutes les couleurs.

« Nous travaillons à ce projet depuis plus d’un an et le scénario en est à sa version finale ». Les producteurs et le réalisateur saluent la sortie du livre de l’historien Yves Gingras sur la correspondance de Marie-Victorin à Marcelle Gauvreau, Lettres biologiques, recherches sur la sexualité humaine qui vient valider nos intuitions sur les points de vue souvent avant-gardistes de ce grand scientifique. C’est un admirable clin d’œil de synchronicité que la vie nous fait à cette occasion.
Cette année, André Forcier, l’enfant terrible du cinéma québécois, célèbre 50 ans de cinéma. Occupant une place singulière dans la cinématographie québécoise, Forcier est l’auteur de classiques reconnus par tous. À cette occasion, le dimanche 18 février à 14 h, le Musée national des beaux-arts du Québec (MNBAQ) lui rendra un hommage orchestré par le commissaire Michel Savoy en collaboration avec le Conseil des arts et des lettres du Québec, où son film Au clair de la lune sera projeté et suivi d’une classe de maître.
Récipiendaire du prix Albert-Tessier et du prix de la Gouverneure Générale du Canada, André Forcier poursuit avec maîtrise une œuvre saluée à la fois par la critique et par le public.

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