La campagne électorale pour les élections législatives du 4 mai prochain a débuté et sera marquée par la crainte d’une forte abstention des électeurs à ce scrutin.
En Algérie , Les candidats figurant sur près d’un millier de listes de 50 partis politiques et listes indépendantes vont essayer durant trois semaines de convaincre les électeurs pour aller voter en masse en organisant des meetings populaires, des rencontres de proximité ou par le bais des réseaux sociaux, dans le but de gagner leur confiance et pouvoir les représenter durant le prochain mandat parlementaire au sein de l’assemblé national populaire .
De son côté, Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, M. Noureddine Bedoui, a annoncé que tout est « prêt » pour le lancement de la campagne électorale. Le nombre d’électeurs concernés par les législatives, à l’issue de la révision exceptionnelle des listes électorales, est de 23.251.503 électeurs, dont 45,85% sont des femmes. Plus de 53.000 bureaux de vote seront ouverts pour accueillir les électeurs, dont 390 pour la communauté Algérienne établie à l’étranger.
Pour la zone 4 qui regroupe l’Europe hors France et les deux Amériques où les élections débuterons le 29 avril prochain jusqu’au 4 mai, les candidats en liste ont déjà commencé leurs compagne électorale, qui s’annonce difficile, puisque les ressortissants algériens s’intéressent de moins en moins aux élections algériennes.
À Montréal, le fichier électoral est de 12.000 électeurs inscrits, et l’on retrouve deux têtes de liste de la zone 4 résidants au Canada qui sont en course pour représenter la communauté Algérienne à l’étranger, il s’agit des partis politique du FFS et du FNJ .
S.K.