AZ Film est heureuse d’annoncer la sortie en salle de la comédie Adieu les cons du réalisateur d’Au revoir là-haut, Albert Dupontel, le 25 juin prochain.

Écrit par Albert Dupontel qui y tient un des rôles principaux avec Virginie Efira (Victoria) lauréate pour ce film du Bayard d’or de la meilleure interprétation féminine du Festival de Namur et Nicolas Marié (Café de flore), le film a remporté 6 César : Meilleur acteur dans un second rôle (Nicolas Marié), Meilleur scénario original et Meilleure réalisation (Albert Dupontel), Meilleure photographie (Alexis Kavyrchine), Meilleurs décors (Carlos Conti) ainsi que Meilleur film (Catherine Bozorgan, Albert Dupontel).

« (j’ai eu) l’envie d’une tragédie burlesque, tout en commentant, à ma façon comme toujours, le monde qui m’environne. Pour cette histoire, je suis parti de l’idée d’opposer deux réalités, quelqu’un qui veut vivre, mais qui ne peut pas, à quelqu’un qui pourrait vivre mais qui ne veut pas. » – Albert Dupontel

Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l’enfant qu’elle a été forcée d’abandonner quand elle avait 15 ans. Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.

À la fin des années 80, Albert Dupontel se forme à la comédie au Théâtre National de Chaillot. C’est à cette période qu’il débute sur grand écran dans La bande des quatre de Jacques Rivette et Encore de Paul Vecchiali. Albert Dupontel s’illustre ensuite dans Un héros très discret de Jacques Audiard et fut nommé aux César dans la catégorie Meilleur second rôle masculin. Un an plus tard, il réalise son premier long métrage, Bernie, dans lequel il s’offre également le rôle-titre. Après avoir tenu l’affiche de Serial Lover, Albert Dupontel signe la mise en scène de son deuxième long, Le créateur (1998). Il adhère aux univers de Jeunet (Un long dimanche de fiançailles, 2004), Thompson (Fauteuils d’orchestre, 2006) et Klapisch (Paris, 2008). En 2006, il livrera son troisième long Enfermés dehors dans lequel il se met également en scène. Il réalise en 2009 Le vilain dans lequel il joue aux côtés de Catherine Frot. Il retrouve par la suite Bertrand Blier pour Le bruit des glaçons (2010), dans lequel il incarne le « cancer » de Jean Dujardin. Avec 9 mois ferme, il revient à la réalisation pour la cinquième fois et retrouve Sandrine Kiberlain 18 ans après Un héros très discret. Le cinéaste remporte avec ce film le César du meilleur scénario original et vaut à sa comédienne principale le César de la meilleure actrice. En 2017, Dupontel met en scène Au revoir là-haut, adaptation d’un roman de Pierre Lemaitre. L’œuvre remporte cinq César en 2018 dont celui de la Meilleure réalisation pour Albert Dupontel.

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