Nous abordons dans cet article la suite de l’interview que nous a accordé Phil Dowan. Dans cette seconde partie, notre interlocuteur nous parle de la crise sanitaire, de ses croyances et de ses préférences, mais aussi de ses craintes dans un monde en pleine mutation. Une nouvelle ère se dessine, où il s’agira pour l’homme de se laisser guider non pas par les enseignements des décideurs de ce monde, mais par un raisonnement dicté par la conscience et la sagesse propre à la nature humaine.
Une vision qui n’aura pas pour but de se faire la guerre pour les richesses, mais plutôt de trouver comment cohabiter en harmonie, au milieu d’une nature protectrice.
Quelle analyse faites-vous de cette crise sanitaire. Les zones d’ombre, les vérités. Pensez-vous vraiment qu’il y a des choses qu’on nous cache ?
Tout ce qui a été caché remonte peu à peu à la surface. Il ne s’agit pas d’une crise sanitaire. Il s’agit d’une guerre de l’information doublée d’une guerre économique. Ce ne sont plus les chefs d’états qui dirigent les pays, ce sont les banques centrales avec le système de dettes qu’ils ont mis en place ainsi que les multinationales dont Big Pharma qui, à elle seule, totalise un chiffre d’affaires global supérieur au PIB de l’Australie. Big Pharma peut acheter n’importe quel premier ministre ou président.
Concernant notre argent, on peut déjà voir dans les magasins fleurir des affichettes nous incitant à payer avec notre carte de crédit. Il y est écrit : « Pour la sécurité et la santé de nos employés, le plastique est mieux que le papier ! » On commence donc à instiller dans les esprits que si les employés du magasin tombent malades ce sera de votre faute. Tout cette manœuvre repose sur la croyance que les microbes, les bactéries et les virus sont des méchants ennemis qu’il faut absolument combattre. Théorie fumeuse basée sur le dogme du chimiste Pasteur qui n’était même pas médecin. Ce dogme, car il s’agit bien d’un dogme quasi religieux, est remis en cause depuis des années par de nombreux infectiologues, virologues et épidémiologistes qui ne sont évidemment pas invités sur les plateaux de télévision.
Aujourd’hui, ne pas utiliser l’argent papier est juste une recommandation. Demain ce sera interdit. Les dictatures douces procèdent toujours ainsi : on suggère d’abord, on habitue ensuite et on impose après. Avec l’argent dématérialisé obligatoire il sera alors facile de vider vos comptes bancaires après une décision de justice arbitraire.
Je vois aussi se profiler l’instauration d’un revenu universel qui pourrait à première vue passer pour une idée généreuse. Sauf que celui qui vous paye a toujours des droits sur vous. Je ne serais pas étonné qu’après avoir mis en place cette manne inattendue le ministère concerné menace ceux qui le touchent de leur couper les vivres s’ils ne se sont pas fait vacciner. Si ce système est mis en place ce sera une excellente façon de mieux contrôler les gens. Par la peur de la maladie ou par la peur de la mort avec le vaccin et par la peur de la pauvreté par le manque d’argent. La peur a toujours été l’arme des dictatures.
Enfin la grande arnaque à laquelle on est en train d’assister est de tromper les gens avec le nombre de « cas » positifs. Il est facile de comprendre que plus on fait des tests, plus on obtient de « cas ». Or les « cas » même positifs ne veulent rien dire surtout si on est asymptomatique. Ce n’est pas parce qu’on est testé positif qu’on a attrapé le covid. Les tests PCR utilisés, inventés par Kary Mullis, étaient destinés à la recherche. De la bouche même de son inventeur, ils ne devaient en aucun cas être utilisés pour rechercher un virus particulier. N’importe quel médecin de bon sens et qui n’est pas acheté par l’industrie pharmaceutique vous dira qu’en règle générale lorsqu’on ne présente pas de symptômes c’est qu’on n’est pas malade.
L’intérêt de l’industrie pharmaceutique n’est pas de vous guérir. Son intérêt et celui de ses actionnaires est qu’il y ait le plus de malades possible afin de vendre leurs traitements dont les effets secondaires provoquent de nouvelles maladies. Dans la Chine ancienne on payait son médecin pour qu’il vous garde en bonne santé et on arrêtait de le payer lorsqu’on tombait malade.
Quelle est votre définition de la loi de l’attraction ?
On n’attire pas ce qu’on veut ni ce qu’on désire. On attire ce qu’on est, ce qu’on incarne, ce qu’on rayonne. Sortez avec un grand sourire dans la rue (avec un masque transparent comme le mien) et vous attirerez des sourires. Le sourire est un virus contagieux. Sortez triste en faisant la gueule et vous croiserez des gens moroses. La joie attire la joie. Les belles personnes attirent les belles personnes. Alors il suffit d’être une belle personne à l’intérieur de soi. Déjà Voltaire l’avait compris à sa manière lorsqu’il disait « J’ai choisi d’être heureux parce que c’est bon pour la santé. »
Votre appréciation de l’astrologie…
L’astrologie est un art divinatoire très ancien et complexe qui peut nous donner de précieuses indications. Aux chrétiens à qui on a toujours parlé des rois mages guidés par les étoiles on a oublié de dire qu’ils étaient en fait de grands astrologues. Les astres ont une influence sur notre comportement en raison de la loi de l’Unité, puisque nous ne faisons qu’un avec l’univers.
Croyez-vous aux extra-terrestres, à un monde parallèle ?
J’ai eu moi-même deux preuves tangibles de leur existence. Il ne s’agit pas de croyances, mais de faits avérés. Il suffit d’aller chercher les informations. Les informations concernant les ovnis sont déclassifiées, tout le monde peut y avoir accès. Peu de personnes connaissent par exemple l’existence du NESARA (National Economic Security and Reformation Act), une charte votée en mars 2000 par le Congrès des États-Unis et transformée en loi fédérale. Lorsqu’il entrera réellement en vigueur, il révélera l’existence de relations secrètes entre certains gouvernements de la Terre et des peuples extraterrestres, la mission de nos frères de l’espace et l’existence de la Confédération Inter-Galactique qui veille sur l’humanité terrestre. Comment les terriens peuvent-ils avoir la prétention de croire qu’ils sont les seuls êtres soi-disant intelligents dans l’univers ? L’univers est composé de milliards de milliards de galaxies qui elles-mêmes comportent des milliards de planètes. Ne pas croire aux autres civilisations est comparable pour moi à ceux qui, au temps de Christophe Colomb croyaient que la Terre était plate.
Quels sont les auteurs qui vous ont le plus inspiré…
En premier le Petit Prince d’Antoine Saint-Exupéry qui peut se relire à chaque âge de la vie, tous les livres de Neale Donald Walsch, le premier étant « Conversation avec Dieu », « Les Dieux voyagent toujours incognito « de Laurent Gounelle, tous les romans d’Eric-Emmanuel Schmitt, « Fahrenheit 451 » de Ray Bradbury que je viens de relire… Le roman que j’ai écrit « 2027, La révélation » de Phil Dowan, car lorsqu’on commence à rédiger un livre, l’auteur est le premier spectateur de ce qui est en train de s’écrire à travers lui… et une très grande quantité de livres de croissance personnelle.
Quel est votre livre de chevet…
Mon livre de chevet en ce moment est de Suzanne Ward « Matthieu raconte-moi ta vie au paradis » (Éditions Ariane) Il nous fait voir le monde incroyable de l’autre côté du voile comme jamais il n’a été décrit. Matthieu est mort à 17 ans dans un accident de voiture. Quelques années plus tard, il envoie par télépathie des messages depuis l’au-delà à sa mère avec une précision remarquable. Toutes ces pages deviendront ce livre hallucinant traduit en sept langues. Impossible d’avoir peur de la mort après l’avoir lu.
Croyez-vous à un lendemain meilleur dans le monde ?
Le plan divin a toujours été que la lumière l’emporte sur les forces de l’ombre. Néanmoins il nous a été donné le libre arbitre. D’autres dures épreuves vont sans doute arriver pour nous pousser à nous dépasser. Les épreuves sont là pour nous faire grandir. Ce sont nos pensées, nos paroles et nos actes qui créent notre propre réalité. Alors, tout est possible. Tout va dépendre du nombre de personnes qui vont se réveiller et prendre en mains leur destinée. Il faut avoir le courage de vider l’ancien pour pouvoir accueillir le nouveau.
Notre civilisation est à l’agonie et c’est très bien ainsi. En disparaissant elle va faire de la place pour un monde nouveau qui va se construire peu à peu sur des bases nouvelles. Avec une connexion à la Terre-Mère et au Ciel-Père, une union avec la nature et nos frères des étoiles sous-tendus par des valeurs de solidarité, de fraternité et d’amour. Un monde magnifique est à notre portée. De mon point de vue c’est juste une question de temps. Mais les forces obscures qui s’y opposent vont redoubler d’efforts. Nous sommes actuellement dans le tambour de la laveuse mais pas encore sur le programme essorage. Il va donc falloir, non pas se battre frontalement, car ce serait leur donner de la force et perdre des nôtres, mais s’occuper au mieux de nous-mêmes en devenant souverains, à l’écoute de notre âme.
Propos recueillis par Hamid Si Ahmed