Le Goethe-Institut Montréal, en collaboration avec le Festival international de la littérature (FIL), vous invite à faire la rencontre de la romancière et essayiste Cécile Wajsbrot.
Entretiens et lectures en français sont au programme pour sa visite du 24 au 27 septembre 2019 :
24 septembre 2019, 17h, Maison des écrivains : Regards croisés Europe-Québec. Entretien avec Chrystine Brouillet, écrivaine et chroniqueuse littéraire.
27 septembre 2019, 17h, Auditorium de la Grande Bibliothèque : Ode à la planète. Projection du film « Métamorphoses » de Nova Ami et de Velcrow Ripper produit par l’ONF, suivi d’une discussion avec des écrivaines et écrivains qui se sentent concernés par la problématique des changements climatiques. Prévu lors de la « journée de la grève mondiale pour la planète » du vendredi 27 septembre, ce rendez-vous se veut aussi l’occasion de témoigner de l’urgence d’agir et de la façon dont les littéraires peuvent s’impliquer. Animation par Sylvain Dodier, avec Suzanne Aubry, Marie-Louise Guay, Pascale Petit (France) et Cécile Wajsbrot (France/Allemagne). En collaboration avec l’Office national du film (ONF) et en codiffusion avec Bibliothèque et Archives nationales du Québec.
« Cécile Wajsbrot poursuit son oeuvre, main dans la main avec l’Histoire, cette broyeuse de destins. Elle fait de ses promenades, rencontres et lectures, des morceaux choisis de littérature. Sereine, elle arpente le temps, s’aventure sur des chemins inconnus, et respire Berlin. » – Martine Laval, Telerama.fr
Cécile Wajsbrot
Cécile Wajsbrot est née à Paris en 1954. Romancière et essayiste, elle est également traductrice de l’anglais (Viriginia Woolf) et de l’allemand (Peter Kurzeck, Wolfgang Büscher). Depuis son premier roman, publié en 1982, elle poursuit une œuvre marquée par une douloureuse confrontation avec son histoire familiale. Elle vit actuellement entre Paris et Berlin, où elle a reçu en 2016 le prestigieux prix de l’Académie. Son plus récent livre s’intitule Destruction (Le Bruit du temps, 2019) dans lequel une écrivaine parisienne férue de lecture en est privée soudainement par un régime totalitaire. Cette fiction spéculative évoque la mémoire des crimes de l’histoire et la capacité d’en tirer des leçons.