Ça reste entre nous est un manga japonais qui est signé Haru Aoi. L’histoire qui est déclinée en trois tomes, raconte le récit de Towako une studieuse lycéenne et présidente du conseil des élèves qui est réputée pour sa moralité irréprochable et de ne pas être amie avec les garçons.
Towako se souvient que lorsqu’elle était petite avoir fait cette promesse à sa mère de ne pas être amie avec les garçons et de ne pas leur faire confiance. Elle lui fit la promesse de concentrer ses efforts pour réussir ses études, se trouver un travail et ne pas dépendre des hommes.
Cette intériorisation du rejet des garçons a nourri en elle des pensées secrètes qu’elle tient sur son journal intime. Journal intime dites-vous ? Pas si intime que cela puisque par un malheureux concours de circonstances celui-ci se trouve entre les mains de Yui un élève de première année.
Le premier regard que Towako a posé sur Yui, alors que celui-ci est en retenue, suffit pour perturber celle qui est la présidente du conseil des élèves.
Un regard…un seul regard a suffi à la jeune fille pour être entrainée dans le jeu du jeune homme, qui en s’emparant du journal intime de Towako, allait faire naître en elle de nouveaux sentiments.
Ça reste entre nous qui a été publié en 2018 au Japon chez Shûeisha est graphiquement agréable à lire et il retiendra l’attention des adolescents de par son thème. L’œuvre vient d’être traduite chez Kana éditions pour nous faire découvrir une histoire de ces adolescents qui découvrent la vie et qui se découvrent eux-mêmes.
Réda Benkoula
