Le Festival International de Jazz de Montréal, présenté par Groupe Banque TD, en collaboration avec Rio Tinto, a le plaisir d’annoncer une première vague de noms excitante à la programmation de sa 41e édition, qui se tiendra du 25 juin au 4 juillet 2020. Les billets seront mis en vente le vendredi 29 novembre à 10h (prévente exclusive pour les abonnés de l’infolettre le jeudi 28 novembre, de 10h à 22h).

Gregory Porter
Maison Symphonique, 4 juillet, 19h, Le Festival à la Maison symphonique Delta Air Lines
Reconnu pour sa voix chaude de baryton, Gregory Porter entremêle le jazz, le soul et le gospel. Voguant entre standards et soul plus contemporain, il a été comparé à ses idoles Nat King Cole, Donny Hathaway et Stevie Wonder. Il s’est signalé dès son premier album, Water, en 2010, avec une nomination aux Grammy, remportant finalement celui de meilleur album vocal jazz en 2013, avec Liquid Spirit.

Walk off the Earth
MTELUS, 28 juin, 20h30, Les Rythmes
Depuis que son interprétation de Somebody That I Used to Know, de Gotye, a explosé il y a sept ans sur YouTube, recueillant plus de 187 millions de vues, le groupe ontarien a pondu une série de chansons originales à succès, rempli des salles à travers le monde et collaboré avec certains des plus grands artistes au monde (Keith Urban, Snoop Dogg, Nicky Romero, et Steve Aoki). Il viendra présenter son plus récent album, Here we go!, au public montréalais.

GoGo Penguin
Théâtre Maisonneuve, 25 juin, 20h, Les Grands concerts Rio Tinto
Ce trio de Manchester s’abreuve au rock, au jazz et aux influences minimalistes, mais aussi aux sons de jeux vidéo et à l’électronique, créant une musique expérimentale dont la complexité hypnotique rappelle celle d’Aphex Twin ou Four Tet.

Bebel Gilberto
Théâtre Maisonneuve, 27 juin, 20h, Les Grands concerts Rio Tinto
Née au Brésil dans une famille qui a la musique tatouée sur le cœur, Bebel Gilberto est devenue, en quelques décennies, l’icône de la bossa nova, un genre que son père a contribué à mettre au monde il y a 60 ans cette année et dans lequel elle infuse gaiement de l’électro. Ses fans attendent impatiemment son nouvel opus cette année.

Al Di Meola
Théâtre Maisonneuve, 2 juillet, 20h, Les Grands concerts Rio Tinto
Réputé pour sa virtuosité et ses compositions complexes, ce roi de la guitare, qui a eu la piqûre en découvrant les Beatles, a signé 20 albums sur quatre décennies, durant lesquelles il n’a eu cesse de faire se rencontrer musique du monde et jazz. En 2015, il recevait le prix Miles-Davis du FIJM, soulignant sa contribution au renouvellement du genre.

Marcus Miller
Théâtre Maisonneuve, 3 juillet, 20h, Les Grands concerts Rio Tinto
Grâce à son style distinctif – une combinaison unique de funk, de groove, de soul et de maîtrise technique – il est considéré comme l’un des bassistes les plus importants dans l’univers du jazz fusion. Compositeur de nombreuses trames sonores, il a collaboré avec Miles Davis et apporté sa touche à pas moins de 500 albums.

Hiromi : solo
Monument National, 26 juin, 20h, Jazz Beat DoubleTree
La carrière de cette pianiste exceptionnelle, qui a commencé à se produire à l’âge de 12 ans, est jalonnée de prix et de prouesses. Depuis la sortie de son premier album, Another Mind, en 2003, elle éblouit partout sur son passage avec la maîtrise de son instrument et ses improvisations passionnées. Ce sera l’occasion de la voir en solo, dans la foulée de son plus récent disque, Spectrum, son deuxième en carrière enregistré dans cet exercice.

Christian McBride, A Christian McBride Situation
Monument National, 30 juin, 20h, Jazz Beat DoubleTree
Pour son nouveau projet jazz-funk, le légendaire contrebassiste multiprimé s’entoure de Ron Blake au saxophone, Patrice Rushen aux claviers, Alyson Williams au chant et de DJ Logic et Jahi Sundance Lake aux platines, formant un étonnant sextet sans batterie. L’objectif? Rendre hommage à son ami et mentor James Brown.

Femi Kuti & The Positive Force
Club Soda, 25 juin, 21h, Les Couleurs SAQ
Femi Kuti est le cœur et l’âme de l’afrobeat moderne, un style créé par son père qui mélange des motifs rythmiques nigérians à des éléments de soul, funk, highlife et R&B, portant encore haut et fort son crédo : la musique est une arme qui combat au nom de la justice et de la liberté. Avec son groupe The Positive Force, il continue d’élaborer le vocabulaire de l’afrobeat en y intégrant des soupçons de punk et de hip hop, préservant sa dimension politique et ses racines.

Charlie Cunningham
Club Soda, 2 juillet, 21h, Les Couleurs SAQ
Actif depuis peu sur la scène musicale, le guitariste britannique s’est perfectionné à Séville et y a trouvé une nouvelle technique qui s’est avérée un catalyseur pour sa créativité. Reprenant les qualités percutantes du flamenco, son style alterne entre tournures mélodiques complexes et moments de profonde introspection. Le résultat : un folk apaisant porté par une voix à fendre l’âme.

La 41e édition du Festival International de Jazz de Montréal se déroulera du 25 juin au 4 juillet 2020.

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