L’anthropologue et muséologue Réda Brixi dit qu’il est nécessaire d’avoir une communauté agissante, autrement celle-ci restera toujours-là à ramer!

En effet, alors que le climat économique conserve encore sa morosité devant la fermeture des commerces de gros et de détails et des licenciements massifs, il devient plus que nécessaire de penser à l’option de l’entreprenariat qui demande une prise de risque et un engagement certain sur le long-terme. Entre le mode de pensée traditionnelle qui prévoit la recherche de la sécurité de l’emploi et la mutation du marché du travail qui nécessite des ajustements constants, les défis à surmonter et l’énergie à mobiliser pour se lancer en affaire relèvent alors de l’unique porte de sortie.

Le soutien des proches et de l’entourage demeure une nécessité dans la mesure où le parcours de l’entreprenariat est parsemé d’embuches que pourront franchir les plus chanceux, les plus aguerris, ou les plus chevronnés, tout en sachant que la meilleure des idées ne garantira pas le meilleur des succès. D’ailleurs de nombreux entrepreneurs qui se trouvent dans la phase de démarrage d’entreprise sont susceptibles d’être isolés en raison du projet qui leur tient à cœur. Ils lancent souvent des produits ou services à des prix très compétitifs, ce qui permet aux consommateurs de faire des économies dans les coûts, et qui dans le contexte de l’austérité représenté une valeur concurrentielle.

Il est donc nécessaire d’encourager ces jeunes bâtisseurs en les référant, car cela peut être gratifiant et ils vous reconnaissant. Voilà pourquoi, le soutien moral est souvent utile pour poursuivre le projet entrepreneurial qui nécessite l’investissement financier pour le développement des affaires pour pouvoir aller de l’avant.

Après tout, ne dit-on pas que le nerf de la guerre c’est l’argent…et si l’entourage ne peut pas le fournir, il devient alors de son devoir de toujours référer les entrepreneurs…et ceci est la moindre des choses à faire!

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