Le Festival de Cinéma Latino-Américain de Montréal, le petit festival montréalais aux GRANDS FILMS latino-américains, en plus de films de l’Espagne, débute ce vendredi 26 août et s’installe au Cinéma du Parc jusqu’au 5 septembre, dans la salle qui l’a vu naître.

Le festival perdure grâce à l’appui indéfectible des publics, qu’ils soient hispanophones, francophones ou anglophones, et des cinéphiles enthousiastes qui aiment découvrir un éventail de films récents et de quelques classiques. En bref, le FLCM c’est un festival de films d’Argentine, du Chili, de Colombie, des États-Unis, du Québec, du Mexique, du Pérou et d’Espagne à voir sur GRAND ÉCRAN.

DANSER POUR LA LIBERTÉ de Oscar Ruiz Navia, une coproduction québécoise avec la Colombie fera l’ouverture du festival le vendredi 26 août à 19h00 (avec s.-t. français), en reprise avec s.-t anglais samedi 27 août à 17h. On pourra y voir le Gypsy Kumbia Orchestra, groupe de musique du monde composé de Montréalais et de Colombiens, dans un film musical incroyable. On se rappelle que le GKO a été la vedette récente du spectacle BARKA de Montréal Complètement Cirque.
Le film HISTOIRES BOLIVIENNES de Guy Simoneau, production entièrement québécoise tournée en Bolivie, fera quant à lui la clôture le lundi 5 septembre à 19h00, lors d’une présentation en première mondiale.

Riche de 12 programmes, dont de nombreuses premières canadiennes, les spectateurs pourront également découvrir : – THE FIGHT FOR LEGAL ABORTION / LA LUCHA POR EL ABORTO LEGAL (avec s.-t. anglais) de Ángel Giovanni Hoyos, en première canadienne – GARABANDAL, DIEU SEUL LE SAIT (avec s.-t. français) / GARABANDAL, SOLO DIOS IO SABE (avec s.-t. anglais) de Brian Alexander, en première canadienne – LES CHEMINS DE COMPOSTELLE (avec s.-t. français) / EL CAMINO DE SANTIAGO (version originale anglais avec s.-t. espagnol) de Lydia B. Smith
– UN BON PATRON (avec s.-t. français) de Fernando León de Aranoa, en avant-première – un programme de douze courts-métrages venus du Mexique, du Brésil et du Pérou – THE HOUSE ON WANNSEE STREET / LA CASA DE WANNSEE (avec s.-t. anglais) de Poli Martínez Kaplún, en première canadienne – LA FRANCISCA UNE JEUNESSE CHILIENNE (avec s.-t. français) / LA FRANCISCA A CHILEAN YOUTH (avec s.-t. anglais) de Rodrigo Litorriaga, en première canadienne – BOTERO (avec s.-t. français et anglais) de Don Millar – SALVADOR ALLENDE (avec s.-t. français) de Patricio Guzmán , en première canadienne avec une copie restaurée – DE MADRID À SAN TELMO (avec s.-t. français) / FROM MADRID TO SAN TELMO (avec s.-t. anglais) de Leandro Bartoletti, en première canadienne

Tous les films sélectionnés ne laisseront personne indifférent, et aborderont des sujets chauds de l’actualité internationale comme l’accès à l’avortement ou le 49e anniversaire du 11 septembre au Chili, qui a vu le gouvernement Allende tomber. Une belle manière de se sensibiliser sur les enjeux politiques et sociaux qui nous entourent. Et comme le dit sa devise, le Festival de Cinéma Latino-Américain a sa raison d’être tant qu’il n’y aura pas au moins un film en langue espagnole à l’affiche à chaque semaine à Montréal.

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